C'est pour cette raison que je ne comprend pas pourquoi certains vampires renoncent au sang humain. Personnellement je ne m'en lasserait jamais. Pas du sang, manger un animal ne me dérangerait pas plus que ça si je n'avais pas le choix. Mais la chasse ... C'est tellement excitant. Quand on entend le cœur de se pauvre humain qu'on s'apprête a tuer s'accélérer. Il te supplie ensuite de le laisser vivre, mais tu le feras tellement souffrir qu'il finira par te supplier de le laisser mourir. Et le mieux dans ces cas là c'est de ne pas l'achever tout de suite pour qu'il souffre plus longtemps.

Un frisson de plaisir me parcourut tout entière. J'allais bientôt pouvoir m'amuser. J'avais également appris que cette humaine était une chasseuse de vampire. Comment avait elle pût croire qu'elle ferait le poids fasse a nous. Le pire c'est qu'elle était seule. Et le temps que ses chiens de garde rapplique, elle serait déjà morte. Qu'elle soit contente que je lui offre l'immortalité cette petite sotte.

Je patientais toujours adossé au mur. Je vis mon ombre sur le sol, qui me fit sourire. J'étais très fière de moi car j'avais l'air terrifiante. Mais le temps commençait a me sembler long. Bon dieu ce que les humains pouvaient être lent quelque fois. Je décidais donc de passer a l'action, j'en avais assez d'attendre. D'un mouvement brusque qui ne me pris même pas la moitié d'une seconde, je me retournais. Mes yeux, d'un rouge sombre comme toujours, se posèrent sur Chloé Brendley. J'avais appris son nom je ne sais où, et je me surpris d'ailleurs de l'avoir retenu. De nos jours, les parents ne savent plus attribuer de nom a leur enfant, c'en est ridicule. Enfin peut importe, j'en étais où déjà? Ah oui, je posais mes yeux sur l'humaine, toujours le même sourire sadique aux lèvres.

- Vous les humains, vous m'étonnerez toujours. Vous passez vraiment vos journée a faire des choses ennuyeuse.

Je m'approchais encore de quelque pas, toujours toute souriante. Puis, je respirais un grand coup. C'est vrai que, a première vu, cette jeune fille avait l'air ... appétissante!

- On ne t'a jamais dit de ne pas te promener dans ce genre de rue, seule et en pleine nuit. Il paraît qu'il y a des gens pas très nette dans le coin!

Je dévisageai l'humaine. Elle se trouvait drôle peut-être? C'était sûrement l'occasion de lui montrait a qui elle avait affaire. Ma vision était cependant quelque peu brouiller, car mes yeux c'étaient assombri. La colère sûrement, mais la soif. Et pourtant je m'étais abreuver au cou d'un pathétique humain il y a moins de vingt quatre heures. Je comprenais maintenant pourquoi Démétri était si redoutable. Plus les parties de chasse était intéressantes, amusantes et excitante, plus on avait soif. C'était en tout cas bien plus intéressant de chasser les humains que les animaux.

J'entendis le cœur de la jeune Chloé s'accélérait. Cela voulait certainement dire qu'elle avait peur. Et oui, c'est bien facile de faire la grosse dure quand on a des traîtres à leur sangs et une meute de sale chiens ayant une mauvaise odeur pour monter la garde, mais quand on est seul, ça change tout. On est plus vulnérable. Et puis, on a peur c'est normal. Comment ne pas avoir peur de moi. Elle ne savait probablement pas qui j'étais, mais je n'allais pas non plus trop tarder a lui montrer a qui elle avait affaire.

- C'est bien tu as de l'humour. Mais ce n'est pas ce qui te sauveras la vie. Les Cullen ont une dette envers les Volturi. Et disons que tu vas servir de règlement!

Je lui souris, mais je la regardais avec mépris, ce qui était plutôt contradictoire. J'avais dans l'intention d'utiliser mon don sur elle, mais je ne l'avais pas encore expérimenter sur les humains. Je ne savais donc pas si, comme pour les vampires, elle allait simplement souffrir, ou si ça allait la tué. Mais je n'en avais strictement rien a faire. Je m'approchais a nouveau, car elle avait reculer.

- Ça risque de faire mal!

Nouveau sourire, nouveau regard méprisant. Mais je me concentrer sur elle cette fois-ci. Et ça marchais. Visiblement, elle n'allait pas en mourir.

La vie est quelque chose que je ne comprendrais jamais. Je songeai à cela seulement maintenant. Enfin la vie humaine je précise. C'est quelque chose de totalement absurde. On né et on meurt. Ce qui ce passe entre ne dépend que d'eux. Franchement ces humains ne servent a rien. Ils sont toujours contrôler par leur peur absurde de mourir. Ils ne font qu'attendre que la mort leur tombe dessus. Ils se condamnent eux même.

C'était a sa que je songeais pendant que je torturais ma victime. Elle attendait la mort qui serait certainement très prochaine pour elle. Du moins c'est ce qu'elle pensait très certainement. Je la fixais toujours de mes yeux, toujours aussi sombre. Je la vis frémir quand je parlais des Volturi, des miens, de mes semblables. Alors au moins, elle avait été assez intelligente pour savoir qui nous étions et pour savoir qu'on ne rigolait pas avec nous. Mon don faisait son effet, elle souffrait. Elle commença a crier, ce qui déclencha chez moi un fou rire de démence. Oui, je devais belle et bien être cinglé. Mais je n'en avais strictement rien a faire. Je devais l'immortalité a Aro, et j'avais conscience de passer pour la vampire la plus effroyable de l'histoire, mais je m'en moquer. Tant que je pouvais servir les Volturi loyalement, rien ne pouvait me faire plus plaisir. Je continuait de la fixait, parce que tant que je resterais concentrer, mon don ferait effet, et elle aurait mal. Très mal. Elle tomba d'abord a genou, hurlant toujours. Cette misérable chasseuse de vampire c'était cru au dessus de nous, et voilà maintenant qu'elle en était réduite a être a genou devant moi, en hurlant. Bientôt, elle supplierait j'en étais sûre. Je continuais a rire, je ne pouvait être plus heureuse que quand mon don s'appliquait a quelqu'un. Pendant les sept siècle d'existence, je m'étais efforcer de m'entrainer a l'utiliser, mais il ne m'avait jamais autant servis qu'en cet instant. Elle se recroquevilla ensuite sure elle même, toujours a mes pieds. Et oui, c'est là que les humains avaient leur place, a nos pied. Intérieurement, je jubilai. Mais quelque chose d'étrange ce produisit. Elle prit ... feu. Littéralement feu. Non, elle ne pouvait pas mourir. Aro me tuerait. Mais je ne savais pas quoi faire. Je m'efforcer de regarder ailleurs, pour que la douleur que je lui infligeait s'arrête, et je mis quelque secondes a me calmer.

- Arrête ça tout de suite!

Comment Aro avait il pu me faire ça? Savait il qu'elle don cette humaine possédait? Je n'en savais trop rien. En tout cas, pour la première fois depuis que j'avais été transformer en vampire, j'ai peur pour ma vie. Comment est-ce qu'une simple humaine pouvait elle faire ça? Décidément, tout les gens qui été au contact des Cullen avaient un sérieux problème. D'abord la première humaine pour lequel le dénommé Edward avait voulut mourir, Isabella, qui pouvait résister a mon dons, a celui d'Aro et d'Alec. Je n'avais encore jamais été victime d'un tel échec. Même Renata, qui avait elle aussi un bouclier, ne résistait pas a mon don. Elle ne ressentait certes pas de douleur, mais elle remarquer quand même qu'on se servait de notre don sur elle.

L'humaine c'était relever. J'allais en finir vite avec elle a présent. Plus vite elle serait transformer, plus vite elle serait inconsciente, et mieux se serait pour moi. Je la fixais a nouveau des yeux, mais sans but de la faire souffrir, je fis un pas en avant. Malheureusement, elle semblait avoir retrouver ses force ... et son sens de l'humour. Je ne sais pas trop ce qu'elle fit, je vis simplement que le bats de ma cape de voyage, ou plutôt le bas de la cape des Volturi avait pris feu. Immédiatement je l'enlevai, et la jetais a terre. Il faisait assez froid pour qu'elle s'éteigne. Mais maintenant j'étais vraiment en colère. Je levai la tête, et un grondement sortis du fond de ma gorge. Pour qui est-ce qu'elle se prenait celle là, on attaquait pas une Volturi sans en payer le prix. Je sentis le venin envahir toute ma bouche, et c'est avec une grande difficulté que je me retenais de ne pas lui sauter dessus.

- Ça tu vas me le payer.

Sur ce, je devins incontrôlable. Je fis un bond et je fus devant elle. Je la poussais contre le mur de derrière, ma main porter a son coup. Dans cette position, je doutais fort qu'elle pourrait bouger. Je plongeais mon regard dans le sien.

- Tu as quelque chose a dire avant de mourir peut-être?

Un nouveau grondement s'échappa de ma gorge. Quelle ose faire de l'humour me dépassait. N'avais-je pas été assez menacente? Mais peut-être souhaitait elle que j'en rajoute. Un instant, je me dis que je ferais mieux de la tuer que de la transformer. Déjà, si je la transformer, il fallait que je fasse attention a ne pas boire tous son sang. Hors, j'en avais très envie. C'est alors que je me vis rentrer a Volterra. Aro me demanderait ce qu'il c'était passer. Et grâce ou a cause de son don, je ne pourrait pas lui mentir. Je vis aussi Aro m'arracher la tête et les membres un a un et faire du barbecue avec mes membres. Cette pensée m'arracha une grimace. Non, il fallait que j'obéisse a mes maîtres. Je resserais donc ma prise autour de son coup, la fusillant du regard. Puis, je me mis a rire du même rire démentiel dont j'avais seul le secret.

- C'est bien, tu as de l'humour. Je sens qu'on sera les meilleures amies du monde quand tu seras comme nous!

Sur ce, je n'eus plus la force d'attendre. J'approchais mes canines de son cou. Après une demi seconde d'hésitation, je plantais mes dents avec force dans son cou. Je m'étais attendu à ce qu'elle gigote, a cause du venin bien sûre. Je la serrais donc encore plus fort à la gorge. Son sang était si bon, et chaud parce qu'elle avait peur. Mais je n'arrivais pas à m'arrêter. J'eus une nouvelle fois l'image d'Aro dans la tête, mais cette fois ci son visage était emplis de déception. Non, je ne pouvais le décevoir, il m'avait sauver. C'est ainsi que je trouvais la force, d'arrêter. Je me retirais, mais je maintenant ma prise sur la jeune femme, sur son bras cette fois ci.

L'humaine hurla. Je souris. Chaque fois que j'avais transformer des humains en vampires, j'avais toujours préféré le moment où ils hurlaient. Je ne sais pas pourquoi d'ailleurs. Peut-être parce qu'ils suppliaient tous. Comme si quelque mots destiner a les épargner allez m'arrêter. Je la regardais ce recroqueviller sur elle même. Oui bon, elle était mignonne, mais là, elle allait attirer l'attention sur nous. Je grognais, de mauvaise humeur. Il fallait que je l'amène a Volterra. J'avais accomplis la première partie de ma mission qui consistait a la mordre. Maintenant je devais l'emmener a Aro.

Elle était toujours a terre, mais je l'ignorais. Je réfléchis a la façon dont j'allais m'y prendre. Je ne voyais qu'une seule solution. La ramener pendant qu'elle était inconsciente, car il y avait moins de risque qu'elle ne s'échappe a son réveil. La mission serait bien plus facile si j'avais toute la garde des Volturi pour m'aider a la maintenir hors d'état de nuire. Oui, c'est ce que j'allais faire. Mais je ne voyais en même temps qu'un moyen de rejoindre Volterra sans me faire repérer ... à la nage! Car si on me demandait pourquoi je transporter une jeune fille en guise de bagage dans l'avion j'aurais l'air bête. Je soulevais donc l'humaine sans difficulté, pour la mettre correctement sur mon épaule. En une demi heure j'arrivais au Brezil. C'était là que ça deviendrais plus compliquer. Je devais maintenir son visage le plus hors de l'eau possible. Je la hissais donc correctement sur mon dos, son cœur battait trop fort. J'eus donc un sourire, sadique comme toujours, avant d'entré dans l'eau. La traversé me mit deux heures entière. Je n'étais cependant pas fatigué. Il ne me restais plus qu'a rejoindre Volterra. Ce qui ne pris pas beaucoup de temps. En arrivant, je déposais Chloé dans l'une des nombreuses pièces de la ... forteresse. Je devais parler a Aro.